

Dans un entretien récent avec Claude Ecken, Christopher Priest donnait sa vision des univers imaginaires : le monde ne change jamais, c'est la perception qu'on en a qui donne lieu à des univers différents. Un peu extrême — sans jeu de mots , et pour cette raison sans doute, un éditeur américain a refusé the Separation en grommelant qu'il « ne voulait pas publier de livre qui se révèle n'être qu'un rêve à la fin ». E n fait on est captivé dès les premières pages par un histoire aussi inquiétante qu’entêtante, le lecteur ressort de “La séparation” avec la troublante impression d’être hanté.Hanté par une musique textuelle aussi hallucinante qu’hallucinée, hanté par une narration remarquable et tordue , hanté par le meilleur livre de Christopher PRIEST.
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